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Tibune Ivore Mechaka

Des romans autobiographiques

 

J’ai voulu écrire L’Exil pour rendre hommage à ma mère qui a réussi contre vents et marées, sans mari ni le sou, à me donner la chance d’une vie meilleure. Dans la région du Moyen-Orient et à une époque où la femme était entièrement démunie, ma mère a surmonté tous les obstacles et survécu pour le bien-être de son fils unique.

L’occasion en or s’est présentée lorsque j’ai subi une grave blessure à la cheville qui a nécessité une intervention chirurgicale. Réduit à l’inactivité pendant plusieurs mois, j’ai décidé de me lancer dans l’écriture de mon premier roman ‘’Étrangers sans Pays’’, qui était destiné à prime abord aux amis et parents. L’enthousiasme démontré par les lecteurs m’a convaincu de me lancer dans la publication d’une deuxième édition du roman, intitulé : ’’Mémoires d’un Étranger sans Pays : L’Exil’’ devenu par la force des choses le premier roman de la trilogie des ‘’Mémoires,’’ que j’ai aussi traduit en anglais pour répondre à la demande de plusieurs lecteurs anglophones.

Ne possédant aucune expérience dans l’écriture, mon cheminement a été quelque peu aléatoire. J’ai commencé par mettre sur papier les idées et les évènements sous forme de points chronologiques, ce qui m’a permis de situer mon roman dans le temps et d’évoluer à travers les chapitres. J’écrivais quand l’imagination était fertile et j’arrêtais quand je me sentais à court d’inspiration, ce qui pouvait durer des jours. Souvent, je me réveillais au milieu de la nuit, la tête bourdonnant de trouvailles que je me dépêchais de mettre par écrit. Ça m’a pris neuf mois pour terminer mon roman, le temps de mettre un bébé au monde, mon bébé!

 

Dans Le Scaphandre du Pouvoir, deuxième de la trilogie que je viens à peine de terminer d’écrire, j’ai voulu raconter l’histoire de mon pays d’origine, Le Liban, qui sombra pendant 15 ans dans une guerre civile absurde et meurtrière où les belligérants avaient fait preuve d’une hostilité sans bornes.

Le destin m’a épargné les affres de la guerre de ‘’libanisation’’ de mon pays d’origine, jadis connu comme la perle du Moyen-Orient. Le même heureux destin m’a permis d’émigrer au Canada, mon pays d’adoption. Tel ne fut pas le cas de mes amis Sami et Johnny qui ont vécu cette période noire de 1975 à 1990.  J’ai voulu raconter leur histoire afin de saluer les souffrances et le courage dont fit preuve le peuple libanais. La blessure qu’a laissée cette guerre est béante et prendra plusieurs générations avant de se cicatriser.

 

Le Bal des Survivants, dernier chapitre de la trilogie des  »Mémoires », devrait venir un jour boucler la boucle.

 

 

Résumé du premier Tome

 

Mémoires d’un Étranger sans pays : L’Exil raconte l’histoire de trois générations d’émigrants à la recherche d’une identité, d’un pays, d’une vie. Ohannes, le grand-père arménien, fuit la Turquie en 1916 pour échapper au génocide et refait sa vie à Alexandrie, en Égypte. Il y rencontre Adèle, une Libanaise d’origine qui s’est exilée lors de la grande famine déclenchée par le blocus de l’Empire ottoman.

Les enfants d’Ohannes et Adèle se disperseront dans le monde entier, de l’Australie au Canada. Alice, la fille aînée, quittera précipitamment l’Égypte en 1962, fuyant le père de son fils unique, Rico, et se réfugiera à Beyrouth. Pour Rico, qui n’a que six ans, c’est le début d’une aventure excitante, pleine de découvertes et de défis à surmonter, entre les cinémas de la place des Martyrs, les vacances dans le village d’Aytouli, la vie en pensionnat et les premiers émois amoureux. Grâce au travail acharné de sa mère, il bénéficiera d’une éducation exemplaire dans la meilleure école du pays.

La guerre des Six Jours, l’arrivée des réfugiés palestiniens, les tensions intercommunautaires, les bombardements israéliens : Rico est aux premières loges pour assister aux préludes de la guerre civile libanaise. En 1973, l’adolescent échappe toutefois à la catastrophe annoncée et s’envole pour le Canada, où l’attend une nouvelle vie.

 

Notes sur l’Auteur : Ivore Mechaka

Né en Égypte dans une famille d’origine libanaise et arménienne, Ivore Mechaka a grandi dans la communauté chrétienne du Liban. Il a quitté ce pays à l’adolescence pour émigrer au Canada avec sa mère. Ses études à HEC Montréal puis à l’Institut des banquiers canadiens l’ont conduit à faire carrière dans le domaine de la finance. Mémoires d’un Étranger sans Pays : L’Exil, largement inspiré de sa propre histoire, est le premier roman de la trilogie : Mémoires d’un Étranger sans Pays.

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